Uzès © DR
Cette célébration de l’arbre et de la forêt réunit photographes, peintres et sculpteurs.
Photographes
Didier Goupy, Thierry Vezon , Carole Reboul
Peintres
Pascal Honoré, Philippe Dutilleul, Betty Moll
Sculpteurs
Michel Wohlfahrt, Jenny Jacottet
Ces œuvres sont proposées à la vente jusqu’à fin octobre par la boutique-galerie Véronique Nocquet dans l’église Saint Julien située au cœur d’Uzès.
Elles trouvent une place particulière au sein de cet espace unique dédié à l’art de vivre. A cette occasion, l’exposition s’étendra au 1er étage découvrant la nef de l’église, ouvert pour la première fois au public sur RV.
Cette exposition s’inscrit au cœur de notre célébration permanente, celle de la rencontre immuable et sacrée entre l’art et la nature. La nature inspiratrice bien sûr, à la fois sujet et objet.
L’arbre est le symbole de cette union, seul ou bien perdu dans l’immensité d’une forêt.
Les artistes ont toujours porté un regard singulier sur l’arbre et la forêt, pressentant leur importance dans l’équilibre du monde vivant.
Comment ont-ils représenté la forêt ? Quelles vertus, quels pouvoirs, quelle attention lui ont-ils prêté ? À partir d’un ensemble resserré d’œuvres, cette exposition propose une immersion au cœur de l’imaginaire des forêts.
Une promenade et une exploration où tous les sens – et tous les « sens » – se trouvent convoqués : l'éthique et l'esthétique, le goût, l'odorat, l'ouïe, la vue et le toucher, le visible et l'invisible.
L'arbre devient non seulement la figure du rêve, mais le miroir de la vie, le repère dans le flux du temps. Chaque artiste illustre le double mouvement d’ascension vers les nuées et d’enracinement dans la terre. Entre enracinement et identité, élan vers le ciel et spiritualité.
Derrière l’esthétique et l’imaginaire se dessine imperceptiblement l’intention des artistes d’attirer notre attention sur l’immense respect que nous devons à nos forêts. Si nous continuons à ne pas protéger nos arbres, nous irons directement vers le chaos. Car il en va de l’arbre comme du reste des valeurs qui sont la base d’une société. Cet été ponctué d’incendies fut meurtrier pour les arbres . Aucun spectacle plus désolant que cet anéantissement quasi instantané de nos amis et sauveurs .
« Les forêts précèdent les peuples, les déserts les suivent », prédisait Chateaubriand.
L’écologie est un avènement, qui bouleverse le rapport à la pensée de l’homme, à la nature. C’est un choc, un vrai choc, on ne peut pas regarder les choses autrement. L’espèce humaine s’est engagée dans un chantier crucial pour sa propre survie : penser en dehors d’elle-même, apprendre du non-humain.
Etres vivants, les arbres nous regardent. Ils sont divers et semblables, debout et fiers, ils résistent.
L’arbre respire et abreuve de son souffle les autres vivants. En lui se mêlent les contraires : il abrite, protège et demeure impassible.
Un clin d’oeil au monde d’aujourd’hui qui tend à perdre ses racines.
La forêt, c'est un peu le paradis perdu.
Didier Goupy, Thierry Vezon , Carole Reboul
Peintres
Pascal Honoré, Philippe Dutilleul, Betty Moll
Sculpteurs
Michel Wohlfahrt, Jenny Jacottet
Ces œuvres sont proposées à la vente jusqu’à fin octobre par la boutique-galerie Véronique Nocquet dans l’église Saint Julien située au cœur d’Uzès.
Elles trouvent une place particulière au sein de cet espace unique dédié à l’art de vivre. A cette occasion, l’exposition s’étendra au 1er étage découvrant la nef de l’église, ouvert pour la première fois au public sur RV.
Cette exposition s’inscrit au cœur de notre célébration permanente, celle de la rencontre immuable et sacrée entre l’art et la nature. La nature inspiratrice bien sûr, à la fois sujet et objet.
L’arbre est le symbole de cette union, seul ou bien perdu dans l’immensité d’une forêt.
Les artistes ont toujours porté un regard singulier sur l’arbre et la forêt, pressentant leur importance dans l’équilibre du monde vivant.
Comment ont-ils représenté la forêt ? Quelles vertus, quels pouvoirs, quelle attention lui ont-ils prêté ? À partir d’un ensemble resserré d’œuvres, cette exposition propose une immersion au cœur de l’imaginaire des forêts.
Une promenade et une exploration où tous les sens – et tous les « sens » – se trouvent convoqués : l'éthique et l'esthétique, le goût, l'odorat, l'ouïe, la vue et le toucher, le visible et l'invisible.
L'arbre devient non seulement la figure du rêve, mais le miroir de la vie, le repère dans le flux du temps. Chaque artiste illustre le double mouvement d’ascension vers les nuées et d’enracinement dans la terre. Entre enracinement et identité, élan vers le ciel et spiritualité.
Derrière l’esthétique et l’imaginaire se dessine imperceptiblement l’intention des artistes d’attirer notre attention sur l’immense respect que nous devons à nos forêts. Si nous continuons à ne pas protéger nos arbres, nous irons directement vers le chaos. Car il en va de l’arbre comme du reste des valeurs qui sont la base d’une société. Cet été ponctué d’incendies fut meurtrier pour les arbres . Aucun spectacle plus désolant que cet anéantissement quasi instantané de nos amis et sauveurs .
« Les forêts précèdent les peuples, les déserts les suivent », prédisait Chateaubriand.
L’écologie est un avènement, qui bouleverse le rapport à la pensée de l’homme, à la nature. C’est un choc, un vrai choc, on ne peut pas regarder les choses autrement. L’espèce humaine s’est engagée dans un chantier crucial pour sa propre survie : penser en dehors d’elle-même, apprendre du non-humain.
Etres vivants, les arbres nous regardent. Ils sont divers et semblables, debout et fiers, ils résistent.
L’arbre respire et abreuve de son souffle les autres vivants. En lui se mêlent les contraires : il abrite, protège et demeure impassible.
Un clin d’oeil au monde d’aujourd’hui qui tend à perdre ses racines.
La forêt, c'est un peu le paradis perdu.
Informations pratiques
Véronique Nocquet – L’Art de vivre à la française
30 boulevard Charles Gide
30700 Uzès
06 03 03 72 55
veroniquenocquet.com/
30 boulevard Charles Gide
30700 Uzès
06 03 03 72 55
veroniquenocquet.com/